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Critique de lilimarylene
C'est un roman qui se lit comme on regarde un film. Agrippé à son siège, les yeux aspirés par l'écran, les sens aiguisés par une avalanche d'images, de sons, de sensations.
Sauf que c'est un roman.
En bref, en ouvrant ce livre, attendez-vous à vous en prendre plein la tronche. On ne sait pas qui en est l'auteur, mais il aurait très bien pu être Tarantino, tant le sens du rythme est là, ainsi que le goût des réparties bien senties. Et bien sûr, ça trucide à tout va, et les cadavres pleuvent en veux-tu en voilà.
Pour tout ça, il fallait une histoire spéciale. Une histoire qui emporte dès les premiers mots et qui vous fait avaler les 461 pages sans vous en rendre compte. Cette histoire, c'est celle de Santa Mondega, une petite ville d'Amérique du Sud qui affiche sans doute le taux de mortalité le plus haut du monde. Dans cette ville, il y a un bar, et dans ce bar, il y a un paquet de types louches et violents. Il y a cinq ans, un autre type louche est venu, et après avoir bu un verre de bourbon, il a dégommé toutes les personnes qui ont eu le malheur de se trouver dans le bar à ce moment-là.
Un massacre. Qui lui a valu la célébrité, et le surnom du Bourbon Kid. Or, il semblerait qu'après cinq ans d'absence le Bourbon Kid soit de retour dans la ville... La rumeur dit qu'il serait à la recherche d'une pierre précieuse très spéciale, une pierre convoitée par des personnages aussi divers qu'un tueur à gages, deux moines et le chef de la mafia locale. Et au milieu de tout ça, il y a le patron du bar, qui tente tant bien que mal de ne pas se faire buter. Ah, oui, et il y a aussi deux flics qui s'échinent avec héroïsme à mettre la main sur le Bourbon Kid avant qu'il ne soit responsable d'un nouveau massacre...
C'est au final un super thriller, qui se paie le luxe d'intégrer du fantastique tout en étant très réaliste (notamment dans les scènes d'action), avec juste ce qu'il faut d'humour et de grotesque. Bien sûr, il faut aimer être secoué, et ne pas s'effaroucher des grossièretés qui pleuvent comme l'alcool dans un bar (c'est à dire autant que les cadavres). C'est un roman jubilatoire qui décoiffe, qui amuse et qui vous envoie plein les yeux rien que par les mots.
Je n'ai jamais rien lu de pareil.
Lien : http://surlestracesduchat.bl..
Sauf que c'est un roman.
En bref, en ouvrant ce livre, attendez-vous à vous en prendre plein la tronche. On ne sait pas qui en est l'auteur, mais il aurait très bien pu être Tarantino, tant le sens du rythme est là, ainsi que le goût des réparties bien senties. Et bien sûr, ça trucide à tout va, et les cadavres pleuvent en veux-tu en voilà.
Pour tout ça, il fallait une histoire spéciale. Une histoire qui emporte dès les premiers mots et qui vous fait avaler les 461 pages sans vous en rendre compte. Cette histoire, c'est celle de Santa Mondega, une petite ville d'Amérique du Sud qui affiche sans doute le taux de mortalité le plus haut du monde. Dans cette ville, il y a un bar, et dans ce bar, il y a un paquet de types louches et violents. Il y a cinq ans, un autre type louche est venu, et après avoir bu un verre de bourbon, il a dégommé toutes les personnes qui ont eu le malheur de se trouver dans le bar à ce moment-là.
Un massacre. Qui lui a valu la célébrité, et le surnom du Bourbon Kid. Or, il semblerait qu'après cinq ans d'absence le Bourbon Kid soit de retour dans la ville... La rumeur dit qu'il serait à la recherche d'une pierre précieuse très spéciale, une pierre convoitée par des personnages aussi divers qu'un tueur à gages, deux moines et le chef de la mafia locale. Et au milieu de tout ça, il y a le patron du bar, qui tente tant bien que mal de ne pas se faire buter. Ah, oui, et il y a aussi deux flics qui s'échinent avec héroïsme à mettre la main sur le Bourbon Kid avant qu'il ne soit responsable d'un nouveau massacre...
C'est au final un super thriller, qui se paie le luxe d'intégrer du fantastique tout en étant très réaliste (notamment dans les scènes d'action), avec juste ce qu'il faut d'humour et de grotesque. Bien sûr, il faut aimer être secoué, et ne pas s'effaroucher des grossièretés qui pleuvent comme l'alcool dans un bar (c'est à dire autant que les cadavres). C'est un roman jubilatoire qui décoiffe, qui amuse et qui vous envoie plein les yeux rien que par les mots.
Je n'ai jamais rien lu de pareil.
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