Je sais que je vais me faire quelques ennemis, mais, à part une extraordinaire fulgurance du style, la jubilation macabre qu'il provoque sur le thème du cadavre exquis (à la manière d'un film de
Quentin Tarantino - qui pourrait bien être l'auteur qui avance masqué) et une imagination débridée séduisante (qui malheureusement flirte avec l'indigence et le ridicule vers la fin du roman en manque de vertu), on peut très bien s'en passer.
Vous me direz que les qualités reconnues suffisent à le porter aux nues, aussi, je lirai quand même sa suite programmée.
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