Un roman qui se lit d'un trait, transportés que nous sommes à la vitesse de sa "Flandria" à l'époque où le R&R brûle les âmes et les corps de
Jean-Paul et sa bande, au rythme d'une chanson de
Vince Taylor.
Ça sent le cuir, l'essence et un peu de la poussière des vieux jouets d'enfance.
Certaines phrases ou certains mots sont à mon goût regrettablement répétés, plus que le supportable ne devrait le permettre pour un style pourtant très bon. Mais une overdose de James Dean est-elle seulement possible à notre époque formatée ? Pas besoin de répondre : je conseille la lecture de ce roman, témoignage d'une jeunesse des années soixante empreinte de rêves et de liberté. N'oublions pas d'écouter la B.O !
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