Une fluidité triste cardée de tweed, voilà un style so british, l'écriture incomparable de
William Boyd dans ce
trio si proche de tomber.
Des personnages aux prénoms improbables, Talbot (je pensais que c'était une voiture carrée), Elfrida (le prénom d'une sorcière, non ?)
Parce que chacun cache ses mystères.
Parce que chacun se sait vivre sa vie en imitant l'art ou bien est-ce le contraire ? Dans le cinéma ou dans la littérature ou dans la réalité mais avec un petit verre s'il vous plaît.
"C'est tout le sujet " ou presque de ce livre qui débute après qu'une révolution bouillonne encore dans les esprits des anglais et des français de 1968.
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