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Critique de Lucilou
Ce deuxième tome des Dames du Lac est encore meilleur que le premier!
On y retrouve Camelot, Avalon et surtout Morgane, Arthur, Lancelot, Viviane, Morgause et cette peste (je pèse mes mots) de Guenièvre...
Si en apparence, tout semble parfait à la cour du roi, il n'en rien quand on se faufile dans le cœur, l'âme et les desseins des personnages... Passions, trahisons...
On sait, hélas, tous comment l'idéal Arthurien sombre peu-à-peu... On sait tous qu'il y a là-dessous un fils caché, des turpitudes et des rancœurs, des braises mal éteintes qui renaissent en incendies, des orages. On sait la lutte à mort entre les prêtres et les druides, les bains de sang, le son des cloches si fort qu'il en efface le chant de l'eau et des prêtresses. On sait les larmes d'un roi et les tourments d'une reine. On sait l'amour fou qui mène à la folie. On sait la vengeance d'une sœur, on sait moins sa douleur et ses doutes.
Si ce tome est une aussi parfaite réussite, c'est parce qu'il réunit toutes les qualité du premier opus auxquelles viennent s'ajouter la noirceur, la violence et même la tragédie. Celle, poignante, déchirante, d'un monde qui s'éteint inexorablement et qui ne reviendra pas.
Il paraît pourtant qu'Arthur n'est qu'en dormition, qu'un jour il reviendra. Les bretons l'attendent toujours. Et moi aussi.
On y retrouve Camelot, Avalon et surtout Morgane, Arthur, Lancelot, Viviane, Morgause et cette peste (je pèse mes mots) de Guenièvre...
Si en apparence, tout semble parfait à la cour du roi, il n'en rien quand on se faufile dans le cœur, l'âme et les desseins des personnages... Passions, trahisons...
On sait, hélas, tous comment l'idéal Arthurien sombre peu-à-peu... On sait tous qu'il y a là-dessous un fils caché, des turpitudes et des rancœurs, des braises mal éteintes qui renaissent en incendies, des orages. On sait la lutte à mort entre les prêtres et les druides, les bains de sang, le son des cloches si fort qu'il en efface le chant de l'eau et des prêtresses. On sait les larmes d'un roi et les tourments d'une reine. On sait l'amour fou qui mène à la folie. On sait la vengeance d'une sœur, on sait moins sa douleur et ses doutes.
Si ce tome est une aussi parfaite réussite, c'est parce qu'il réunit toutes les qualité du premier opus auxquelles viennent s'ajouter la noirceur, la violence et même la tragédie. Celle, poignante, déchirante, d'un monde qui s'éteint inexorablement et qui ne reviendra pas.
Il paraît pourtant qu'Arthur n'est qu'en dormition, qu'un jour il reviendra. Les bretons l'attendent toujours. Et moi aussi.
