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Critique de Seyana
36 fois le verbe "ourler". Je n'en pouvais plus.
Oui, ouverture de ma critique sur la répétition d'un mot qui m'a soûlée. C'est fou le nombre d'auteures qui ne savent pas s'arrêter avec les répétitions, surtout celles qui ont du mal avec tout ce qui touche aux lèvres et aux sourires !
Exemples : "je voyais ses lèvres s'ourler", "un coin de ses lèvres s'ourlait", "le coin de sa bouche s'ourla", "ses lèvres s'ourlèrent" (6 fois celle-ci !), "un sourire railleur ourla ses lèvres", etc.
Les synonymes merdouilleuuuu ! Haaaaaa !!! La frustratiooooon !! Stoooooooop !!!
Autre exemple de cette torture : 4 fois ce verbe-là dans le chapitre 44 !
Naaaaan !!!! Arrêtez svp !!! A secours !!!
Incroyable cette pauvreté d'écriture... Et il y a même eut 5 chapitres à la suite avec ce mot...
Ça m'a fait sortir de ma lecture et à un moment donné c'était juste devenu insupportable.
Bref. À part ça, me direz-vous.
Ben c'était sympatoche : univers de vampires sanguinaires dans une compétition sanguinolente entre vampires assoiffés de sang (et de violence) et prêts à tout pour avoir la chance de réclamer un voeux à la déesse mère des vampires très portée sur les massacres.
Et au milieu de tout cela : une humaine.
Mais pas n'importe laquelle : la miss est la fille adoptive du roi des vampires lui-même très loin d'être un gentil (sauf avec elle).
J'ai passé un bon moment mais à la fin ça commençait à tirer, les derniers chapitres ont été pénibles et j'ai dû luter pour terminer. Bref, pas un coup de coeur juste une lecture de passage.
Dans ses remerciements, l'auteure annonce 5 suites. Non merci : c'est beaucoup trop long pour une histoire comme celle-ci et, à moins d'avoir créé un large, complexe et très riche univers à explorer, je n'en vois pas l'intérêt. Surtout si c'est pour se farcir le verbe "ourler" encore une fois.
Mais si vous aimez les histoires de vampires à la Hunger Games (et que les répétitions ne vous font pas peur) ça peut le faire pour vous.
Oui, ouverture de ma critique sur la répétition d'un mot qui m'a soûlée. C'est fou le nombre d'auteures qui ne savent pas s'arrêter avec les répétitions, surtout celles qui ont du mal avec tout ce qui touche aux lèvres et aux sourires !
Exemples : "je voyais ses lèvres s'ourler", "un coin de ses lèvres s'ourlait", "le coin de sa bouche s'ourla", "ses lèvres s'ourlèrent" (6 fois celle-ci !), "un sourire railleur ourla ses lèvres", etc.
Les synonymes merdouilleuuuu ! Haaaaaa !!! La frustratiooooon !! Stoooooooop !!!
Autre exemple de cette torture : 4 fois ce verbe-là dans le chapitre 44 !
Naaaaan !!!! Arrêtez svp !!! A secours !!!
Incroyable cette pauvreté d'écriture... Et il y a même eut 5 chapitres à la suite avec ce mot...
Ça m'a fait sortir de ma lecture et à un moment donné c'était juste devenu insupportable.
Bref. À part ça, me direz-vous.
Ben c'était sympatoche : univers de vampires sanguinaires dans une compétition sanguinolente entre vampires assoiffés de sang (et de violence) et prêts à tout pour avoir la chance de réclamer un voeux à la déesse mère des vampires très portée sur les massacres.
Et au milieu de tout cela : une humaine.
Mais pas n'importe laquelle : la miss est la fille adoptive du roi des vampires lui-même très loin d'être un gentil (sauf avec elle).
J'ai passé un bon moment mais à la fin ça commençait à tirer, les derniers chapitres ont été pénibles et j'ai dû luter pour terminer. Bref, pas un coup de coeur juste une lecture de passage.
Dans ses remerciements, l'auteure annonce 5 suites. Non merci : c'est beaucoup trop long pour une histoire comme celle-ci et, à moins d'avoir créé un large, complexe et très riche univers à explorer, je n'en vois pas l'intérêt. Surtout si c'est pour se farcir le verbe "ourler" encore une fois.
Mais si vous aimez les histoires de vampires à la Hunger Games (et que les répétitions ne vous font pas peur) ça peut le faire pour vous.
