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Critique de SerendipiteEyre
Si je devais décrire ce roman et deux mots et une citation
je procèderais de la sorte : Sombre et fatalité pour les deux mots,
Concernant la citation celle ci est toute désignée :
"C'était triste, très triste. Tout en lisant, je soupirais, car il
semblait que toute joie eût disparu du monde pour n'y jamais revenir'
Quelle ne fut pas ma surprise en lisant ce passage, qui, résumait ironiquement l'état dans lequel je me trouvais moi même lors de ma lecture.
Dans une langue délicieuse on nous conte ici une histoire terrible,
Pas un seul instant dans ma lecture je n'ai pu reprendre mon souffle,
Pas un seul instant je n'ai aperçu une faible lueur dans le noir.
C'est bien simple, mon imaginaire a d'ailleurs travailler en noir et blanc
durant toute ma lecture.
La fatalité apporte à la noirceur ce petit plus qui nous plonge
définitivement dans les limbes. Comme une partie d'échec jouée à l'avance,
chaque action des personnages emmène le récit vers toujours plus de malheur.
Bien que très puissante cette lecture était un peu trop noire, au point que j'ai du la coupler avec une autre, plus lumineuse. J'imagine que la période que nous vivons (confinement) n'était pas la meilleur pour me lancer dans cette lecture.
J'en ressors tout de même satisfait, je trouve les hauts de hurle-vent beaucoup plus poignant que le linéaire et beaucoup trop patient Jane eyre.
Il me reste en mémoire de magnifiques envolées littéraires sur l'amour, l'attachement (sain ou malsain) et sur le fait de survivre à l'amour de sa vie.
je procèderais de la sorte : Sombre et fatalité pour les deux mots,
Concernant la citation celle ci est toute désignée :
"C'était triste, très triste. Tout en lisant, je soupirais, car il
semblait que toute joie eût disparu du monde pour n'y jamais revenir'
Quelle ne fut pas ma surprise en lisant ce passage, qui, résumait ironiquement l'état dans lequel je me trouvais moi même lors de ma lecture.
Dans une langue délicieuse on nous conte ici une histoire terrible,
Pas un seul instant dans ma lecture je n'ai pu reprendre mon souffle,
Pas un seul instant je n'ai aperçu une faible lueur dans le noir.
C'est bien simple, mon imaginaire a d'ailleurs travailler en noir et blanc
durant toute ma lecture.
La fatalité apporte à la noirceur ce petit plus qui nous plonge
définitivement dans les limbes. Comme une partie d'échec jouée à l'avance,
chaque action des personnages emmène le récit vers toujours plus de malheur.
Bien que très puissante cette lecture était un peu trop noire, au point que j'ai du la coupler avec une autre, plus lumineuse. J'imagine que la période que nous vivons (confinement) n'était pas la meilleur pour me lancer dans cette lecture.
J'en ressors tout de même satisfait, je trouve les hauts de hurle-vent beaucoup plus poignant que le linéaire et beaucoup trop patient Jane eyre.
Il me reste en mémoire de magnifiques envolées littéraires sur l'amour, l'attachement (sain ou malsain) et sur le fait de survivre à l'amour de sa vie.
