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Critique de latina
« Il est difficile d'écrire la beauté : celle d'un regard, celle d'un geste, celle de la nature, celle d'un moment, celle d'un lieu et celle, si précieuse, de l'âme ».
Difficile ? Par pour Martine Bronzin qui a su si bien capter tous ces moments précieux où la beauté affleure : les saisons, les moments entre amis, les petits-enfants, le jardin, les balades avec le chien, le brouillard, la pluie… Il y en a chaque jour ! Même pendant le confinement, les quelques échappées à Bruges ou à la mer miroitent de joie.
Il y a les jours « sans » où les disparus envahissent le coeur, que ce soit lors d'un anniversaire ou un jour comme un autre, quand on se réveille l'âme embrumée, ou encore lorsqu'on aide un ami à déménager, à vider sa maison et à faire le tri parmi les photos, les jeux et les souvenirs…
Malgré tout, l'espoir est là, la vie est tapie derrière la nostalgie.
« La pluie tombe sur mon coeur, aujourd'hui comme hier, mais j'attends la douceur de la neige et celle du printemps. J'attends et j'accepte de souffrir pour que revienne la paix. »
J'ai adoré ces chroniques écrites dans une langue sans fioritures mais si poétique souvent, d'une poésie qui vient comme une chanson.
J'ai été amusée, touchée, attendrie, j'ai acquiescé, toujours. Plus d'une fois, j'ai tourné la page, la gorge serrée, puis le sourire me revenait aux lèvres.
Ces pensées sont authentiques, elles relatent la vie de l'auteure, mais par les émotions qui tissent la toile de cette vie, elles sont universelles. Je m'y suis particulièrement retrouvée.
Je vais garder précieusement ce livre et le relire de temps en temps, il relate la vie, tout simplement. Il nous montre que « le bonheur est dans le pré, cours-y vite, cours-y vite, le bonheur est dans le pré, cours-y vite il va filer ».
Difficile ? Par pour Martine Bronzin qui a su si bien capter tous ces moments précieux où la beauté affleure : les saisons, les moments entre amis, les petits-enfants, le jardin, les balades avec le chien, le brouillard, la pluie… Il y en a chaque jour ! Même pendant le confinement, les quelques échappées à Bruges ou à la mer miroitent de joie.
Il y a les jours « sans » où les disparus envahissent le coeur, que ce soit lors d'un anniversaire ou un jour comme un autre, quand on se réveille l'âme embrumée, ou encore lorsqu'on aide un ami à déménager, à vider sa maison et à faire le tri parmi les photos, les jeux et les souvenirs…
Malgré tout, l'espoir est là, la vie est tapie derrière la nostalgie.
« La pluie tombe sur mon coeur, aujourd'hui comme hier, mais j'attends la douceur de la neige et celle du printemps. J'attends et j'accepte de souffrir pour que revienne la paix. »
J'ai adoré ces chroniques écrites dans une langue sans fioritures mais si poétique souvent, d'une poésie qui vient comme une chanson.
J'ai été amusée, touchée, attendrie, j'ai acquiescé, toujours. Plus d'une fois, j'ai tourné la page, la gorge serrée, puis le sourire me revenait aux lèvres.
Ces pensées sont authentiques, elles relatent la vie de l'auteure, mais par les émotions qui tissent la toile de cette vie, elles sont universelles. Je m'y suis particulièrement retrouvée.
Je vais garder précieusement ce livre et le relire de temps en temps, il relate la vie, tout simplement. Il nous montre que « le bonheur est dans le pré, cours-y vite, cours-y vite, le bonheur est dans le pré, cours-y vite il va filer ».
