Fredric Brown s'inspire d'un poème de
Lewis Carroll pour faire passer le personnage principal de l'autre côté du miroir. Doc Stoeger se croit fou ou à moitié, suite à sa rencontre avec un bizarre inconnu. L'histoire se complique avec des morts qui s'ajoutent. Il faudra attendre la fin pour comprendre la machination du criminel auquel on ne s'attend pas. L'humour est en profondeur de l'histoire avec beaucoup de discrétion.
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