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Critique de Zutto


Mais quel bon sang de foutu livre nous avons là! Si Red Rising a pour moi été un coup de coeur, Golden Son frise la perfection (car non, rien n'est parfait en ce bas monde). Aucune faute, aucune brèche. Tous les défauts de Red Rising ont été éliminé dans ce tome. Un pur chef d'oeuvre qui m'a tenue en haleine jusqu'à la dernière page.

L'histoire commence deux ans après que Néro au Augustus, Haut-Gouverneur de Mars, ait acheté a l'issu de son passage à l'Institut Darrow au Andromédus dit le Faucheur, un Rouge transformé en Or qui oeuvre pour le bien d'une révolution.
Darrow est le chouchou. Aussi bien d'Augustus que des autres. On lui prédit un avenir glorieux, radieux, à la tête d'une flotte ou même, un des Douze Chevaliers Olympiques. Sauf que le jour de la bataille finale à l'Académie, Darrow se fait déclasser par un Bellona. Une honte suprême pour son maître qui décide sans préavis de revendre son contrat au plus offrant lors d'un gala sur Luna, la capitale du Système. Dos au mur, Darrow doit vite établir un nouveau plan pour rester dans le gratin - et en vie - afin de faire perdurer l'espoir de voir le rêve d'Eo se réaliser. Notre Faucheur préféré va donc user de ruse pour pouvoir rester dans les faveurs d'Augustus.
J'avoue qu'au début je ne voyais pas trop où allait mener ce tome. Mais dès le moment où cette guerre Bellona-Augustus s'est transformée en une presque guerre civile, j'ai adoré.

Si je devais donner un point faible à Golden Son, je dirai que le personnage de Mustang a perdu son côté un peu "femme fatale" et "rebelle" au fil du livre, et qu'elle se fait un peu invisible et surtout écraser par cette romance. Mais je suis surtout allergique à la romance, donc c'est sans plus.
Gros soupir de déception concernant quelques éléments de l'intrigue qui étaient vraiment prévisibles mais aussi Standing Ovation pour cette fin de tome totalement ahurissante qui fait dresser des poils sur la tête et hurler "bon sang de bordel de merde, je veux la suite !".

En définitif, Red Rising a été le contre-exemple de beaucoup de trilogies : un tome un excellent, et un tome deux encore meilleur. Il ne reste plus qu'à prier pour que le tome trois dépasse nos espérances.
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