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Critique de Coraline2205
Les Enfants terribles est le premier volume de la trilogie La Pension Moreau, de Benoît Broyart et Marc Lizano, publié par une maison d'édition indépendante d'Amiens. J'ai eu l'occasion de découvrir cette dernière, et donc cette bande dessinée, au cours d'un travail. Pour résumer, c'était une belle surprise.
Parmi une sélection d'ouvrages de la maison d'édition amiénoise proposée par notre dévouée professeure, le but de l'exercice était d'en choisir un et d'en faire une présentation « coup de coeur ». Mon choix s'est assez naturellement porté sur le premier volume de la Pension Moreau. En premier lieu, parce que sa couverture attire l'oeil. Les dorures et enluminures sont un gage d'une belle fabrication tandis que l'illustration a déjà cet aspect hypnotisant qu'elle conservera tout au long de la bande dessinée. Mais aussi parce que sa quatrième de couverture a le don de nous intriguer. Pourquoi ces enfants ne sont-ils « pas comme les autres » ? Et qu'est-ce que le « pire » qu'on nous promet ? Tous ces éléments sont autant d'invitations à ouvrir le livre et à se plonger dans l'histoire.
En tant que premier volume d'une trilogie, certains prérequis étaient attendus. Sans faillir, Les Enfants terribles pose les bases de l'univers sombre où se déroule l'intrigue. Dès les premières pages, on plonge dans le bain : des parents, visiblement très fortunés, viennent vendre à prix d'or leur enfant, dont le comportement rêveur les dépasse, pour qu'il y soit pris en main et y reçoive une éducation rigoureuse. On fait alors la connaissance d'Émile, un jeune garçon attendrissant à la bouille d'ange, dont on va suivre les aventures. Celui-ci va pouvoir compter sur Paul, Victor et Jeanne, des pensionnaires un tantinet rebelles qui le prennent sous leur aile, pour résister à la tyrannie des dirigeants de a pension : le directeur Turoc, le professeur Rastoc, le surveillant Mastoc… La fin très abrupte de ce premier volume laisse beaucoup de choses en suspens, ce qui nous donne plus qu'envie de nous plonger dans le suivant.
Lire la suite sur : https://lesmarquespagedunecroqueusedelivres.wordpress.com/2018/10/15/la-pension-moreau-t-1-les-enfants-terribles-benoit-broyart-et-marc-lizano/
Lien : https://lesmarquespagedunecr..
Parmi une sélection d'ouvrages de la maison d'édition amiénoise proposée par notre dévouée professeure, le but de l'exercice était d'en choisir un et d'en faire une présentation « coup de coeur ». Mon choix s'est assez naturellement porté sur le premier volume de la Pension Moreau. En premier lieu, parce que sa couverture attire l'oeil. Les dorures et enluminures sont un gage d'une belle fabrication tandis que l'illustration a déjà cet aspect hypnotisant qu'elle conservera tout au long de la bande dessinée. Mais aussi parce que sa quatrième de couverture a le don de nous intriguer. Pourquoi ces enfants ne sont-ils « pas comme les autres » ? Et qu'est-ce que le « pire » qu'on nous promet ? Tous ces éléments sont autant d'invitations à ouvrir le livre et à se plonger dans l'histoire.
En tant que premier volume d'une trilogie, certains prérequis étaient attendus. Sans faillir, Les Enfants terribles pose les bases de l'univers sombre où se déroule l'intrigue. Dès les premières pages, on plonge dans le bain : des parents, visiblement très fortunés, viennent vendre à prix d'or leur enfant, dont le comportement rêveur les dépasse, pour qu'il y soit pris en main et y reçoive une éducation rigoureuse. On fait alors la connaissance d'Émile, un jeune garçon attendrissant à la bouille d'ange, dont on va suivre les aventures. Celui-ci va pouvoir compter sur Paul, Victor et Jeanne, des pensionnaires un tantinet rebelles qui le prennent sous leur aile, pour résister à la tyrannie des dirigeants de a pension : le directeur Turoc, le professeur Rastoc, le surveillant Mastoc… La fin très abrupte de ce premier volume laisse beaucoup de choses en suspens, ce qui nous donne plus qu'envie de nous plonger dans le suivant.
Lire la suite sur : https://lesmarquespagedunecroqueusedelivres.wordpress.com/2018/10/15/la-pension-moreau-t-1-les-enfants-terribles-benoit-broyart-et-marc-lizano/
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