Pour l'instant, l'Oss 117 le plus désagréable que j'ai lu. Si l'intrigue d'espionnage pure et dure se veut très efficace, l'espèce de romance à femme fatale geignarde qui l'entoure, la misogynie crasse du personnage principal (qu'il faut attribuer à l'époque, certes) et ses élans d'incompétence égoïste m'ont fatiguée
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