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Citations sur Le pain perdu (72)

- Ce qui prime sur tout, c'est la dignité et ta liberté,
- des mots en l'air ....
p154
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Contre les Juifs, tout devenait légitime pour les villageois, et le plus petit d'entre eux se sentait puissant, en imitant les adultes.
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Je me demande depuis toujours, et je n’ai pas encore la réponse, à quoi servent les prières si elles ne changent rien ni personne, si Tu ne peux rien faire et si Tu n’entends pas, ne vois pas ou si Tu es l’invention d’un esprit supérieur, inimaginable, à moins que ce ne soit Toi qui T’es inventé Toi-même ?
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La nuit, toutes sortes de pensées, de projets et une réserve d’espoir se bousculaient dans sa tête, mais est-ce que cela suffirait pour toute une vie ?
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En fille adoptive de l'Italie, qui m'a donné beaucoup plus que le pain quotidien, et je ne peux que lui en être reconnaissante, je suis aujourd'hui profondément troublée pour mon pays et pour l'Europe, où souffle un vent pollué par de nouveaux fascismes, racismes, nationalismes, antisémitismes que je ressens doublement : des plantes vénéneuses qui n'ont jamais été éradiquées et où poussent de nouvelles branches, des feuilles que le peuple dupe, mange, affamé, qu'il est d'identité forte, revendiquée à cor et à cri, italianité pure, blanche.. Quelle tristesse, quel danger. p156
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- Personne n'est ce qu'il est : tout le monde s'adapte, s'uniformise, en fonction des différents régimes. La vie est difficile, hors du troupeau. Le socialisme et la démocratie doivent être renforcés mais ici ce qui presse le plus, c'est la paix. Vivre sur des sables mouvants met les nerfs à vif. Le communisme dans la réalité devient dictature. Les dictateurs hypnotisent la masse qui ne pense pas, qui rallie le plus fort, applaudit quiconque, lui fait des promesses. Les dictateurs sont des manipulateurs, des voleurs de cerveaux, de rêves, ils connaissent, ils flairent les désirs des gens, et disent au peuple ce qu'il a envie d'entendre. Un vieux jeu qui se répète depuis que le monde est monde. p127
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Mais notre village nous semblait déjà loin, dans un ailleurs, avec la porte que mon père avait tenter de fermer. Ce monde-là qui avait été le nôtre était terminé, un endroit digne d'un conte, dans le bien et le mal.
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- Si une nullité merdeuse, une Juive immonde a le courage de porter la main sur un Allemand, si elle le fait, elle mérite de survivre. Dieu vous maudisse !
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Elle avait une curiosité malsaine, mais sa mère devait admettre que c'était la première de la classe, malgré les lois raciales, que le village n'appliquait pas à la lettre.
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Judit et moi échangions des propos muets, comme pour exprimer qu'entre nous et ceux qui n'avaient pas vécu nos expériences s'était ouvert un abîme, que nous etions différentes, d'un es autre espèce. Que se passait-il ? Notre restant de vie n'était plus qu'un poids, alors que nous avions espéré un monde qui nous aurait attendues, qui se serait agenouillé devant nous. Ce qui nous troublait était-il réel ou imaginaire ?
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