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Critique de Hammerklavier


Attention une BD pour adulte... Mais vraiment pour adulte. un portrait extrement sombre et pessimiste de notre monde comtemporain est dressé au fil de la mise en scène des petites histoires et de leur personnages. le plus surprenant c'est que le dessins est presque "enfantin" avec des couleurs eclatante, et malgres cela, la face la plus violente de notre monde y est représentée. Violence sur les enfants, violence sur les populations exploité, violence télévisuel qui ne propose aucune analyse, violence des rapports humain, violence qu'engendre notre rapport a l'argent, Violence dans les rapports sexuels.

Je me souviens particulièrement d'une histoire qui représente un jeux télévisé style loft story. l'histoire se termine en bain de sang, les participant se sont entretué autour de la piscine au milieux du loft comme dans ce film de posolini (Salo ou les 120 journée de sodomes) ou une scène similaire esst filmé a travers des jumelles. Et puis je vois que l'histoire s'intitule 120 days... Je vois que la référence n'est pas une coincidence : C'est l'une des première histoire de No-Comment et annonce ce qui va suivre, a savoir la position de spectateur face a une cruauté, sa position de voyeur face au fait qu'il regarde sans agir, bref, la place que l'on tiens dans ce monde et de quels façon peut etre nous sommes impliqué en cela, dans le sens ou nous somme un composant (parmis les milliards) de cette société.

Les médias télévisuel, en montrant juste le réel (sans effort d'analyse, par simple représentation des faits) avec la fidèle photocopieuse de la réalité qu'est la caméra, n'ont aucun propos, sont vide de sens et d'ambition : et a force il devient "normal" de voir des victimes de famines en afrique, il devient "normal" de voir les coprs mutilé, dommmage collatéraux de je ne sais quelle guerre dans le désert.

Yvan brun,lui, en transposant cette violence contemporaine dans un imaginaire enfantin, coloré, nous montre ce qu'il y a perdre dans cela, en nous montrant les visage innoncent bafoué, broyé,en mettant en rapport la couleur et le pepse de la vie face a l'odeur rance à vomir d'une violence sans limite. En cela il propose une critique visuel, evidente. il passe alors du simple statut de "rapporteur" que peuvent etre les média télévisuel à celui de dénnonciateur.
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