Comme quoi une bonne intention ne donne pas forcément un bon livre.
Ces nouvelles ont pour ambition de donner la parole aux précaires, aux ouvriers, à ceux qui vivotent de leur travail, qui ont du mal à finir le mois et à toutes les victimes de la mondialisation.
La nouvelle, c'est déjà un style littéraire que j'apprécie peu ; j'ai besoin de suivre les personnages, de m'attacher, d'aller au fond des choses et les histoires racontées ici auraient eu besoin d'être développées pour toucher la lectrice que je suis.
L'écriture est simple fluide mais la brièveté de ces pans de vie est trop caricaturale pour moi et m'a empêchée d'entrer en empathie avec les protagonistes.
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