Souvenir plus que critique.
Ma grand-mère, austro-hongroise, me traduisait l'album de son enfance. la traduction de la poésie ne devait pas être parfaite, mais elle adorait les facéties de ses garnements et les dessins avec leurs sourires méchants et content d'eux me ravissaient.
Leur fin, d'une morale aussi cruelle que leurs mauvais coups, était l'occasion pour ma grand-mère de me faire la morale avec humour
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