Comme pour le premier tome,
Busiek se noie dans le brouillard. Il n'y a pas de but premier donné au récit et tout tourne autour d'un flou sur des "méchants" qui ne sont pas là mais qui en fait sont là mais en fait pas forcément mais en fait on pense que oui...
On tourne en rond et des péripéties annexes viennent alimenter un manque cruel d'inspiration de
Busiek à mon goût.
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