Thor: Tu te crois hautement supérieur "Superman". Subis donc le courroux du Dieu du Tonnerre !
Superman: Dieu, dis-tu ? Un petit dieu, alors... d'un petit monde !
J’aime aussi le fait que Conan ne soit pas un héros. Il est humain, il est terrien, il est égoïste et il recherche des choses très compréhensibles – il désire l’argent, il désire le sexe, il désire l’alcool et il ne veut pas s’ennuyer. Ça fait une grosse différence avec les super-héros et c’est pour ça que je m’éclate autant à écrire Conan.
- Règle ton télescope afin qu'il puisse voir à travers le temps et la réalité, pas seulement l'espace. [...] Parfait. Monte de trois degrés. Deux de plus. Grossissement six. Douze siècles vers la gauche. En avant de quatre réalités. Recule de dix-sept minutes. Alors... Que vois-tu ?
MARA : Les anciens ont appelé cet endroit le grand fleuve rouge. Ici et sur des lieues, a été mis à mort le peuple qui vénérait le Dieu Watteva… On raconte que l’année suivante, dans les vallées en aval, la récolte fut miraculeuse… Les champs avaient été arrosés des jours durant du sang des suppliciés.
- Les Estivales... C'est comme cela qu'on appelait mon monde, il y a longtemps. Avant les Cités. Il y avait de la magie et des miracles à profusion. Maintenant, ce sont les Automnales. Et l'hiver approche à grand pas.
Le silence... Le silence a semblé éternel. Puis... un oiseau a chanté, et... nous avons cherché nos familles, nos amis... avec bonheur... ou non. A un moment, ils ont formé des équipes. Je n'ai pas pu m'y joindre, mais il y avait du travail. Pour sauver. Nourrir. Et enfin pour creuser et pleurer.
- Ah ! Quelle vision ! L'ensemble du conseil ténébreux... Chaque sorcier diabolique de cette contrée. Cela vous réchauffe le coeur, ne trouves-tu pas ?
Mais c'était vrai. J'ignorais comment et peu m'importait. Mais j'avais les pouvoirs. Les pouvoirs de Superman.
Bientôt adapté en jeu vidéo et sur le grand écran, Conan n’a jamais été déchu de son statut de personnage majeur de la fantasy.
Les sorciers, lorsqu'ils font de terrifiantes conneries, on accuse toujours l'apprenti.