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Critique de bdelhausse
Redhand arrive dans une grande métropole, divisée en deux parties. La partie haute est riche et la ville basse, près du port, est pauvre.
Mais ces deux parties sont unies par une même dévotion. Les temples sont énormes, aussi énormes que la population est misérable dans la ville basse.
Redhand a toujours aussi peu de mémoire de qui il est, de ce qu'il fait ici, dans cette terre qui se recompose. le lecteur peut se dire qu'on est dans un monde post-apo. D'ailleurs, voilà Redhand qui est sollicité par un riche marchand pour voler un artefact... qui n'est autre qu'un fusil plasma/laser chargé d'une pile atomique. Et quand il s'en approche, le fusil réagit. Que fera Redhand, lui qui veut se tenir à l'écart de la magie et des dieux?
Au-delà de tous les clichés et de toutes les incohérences contenues dans ce tome (et inhérentes à ce genre d'atmosphère, d'univers), on a un dessin très achevé et un héros maudit très attachant. le questionnement sur la religion et les dieux est très bien amené.
Mais ces deux parties sont unies par une même dévotion. Les temples sont énormes, aussi énormes que la population est misérable dans la ville basse.
Redhand a toujours aussi peu de mémoire de qui il est, de ce qu'il fait ici, dans cette terre qui se recompose. le lecteur peut se dire qu'on est dans un monde post-apo. D'ailleurs, voilà Redhand qui est sollicité par un riche marchand pour voler un artefact... qui n'est autre qu'un fusil plasma/laser chargé d'une pile atomique. Et quand il s'en approche, le fusil réagit. Que fera Redhand, lui qui veut se tenir à l'écart de la magie et des dieux?
Au-delà de tous les clichés et de toutes les incohérences contenues dans ce tome (et inhérentes à ce genre d'atmosphère, d'univers), on a un dessin très achevé et un héros maudit très attachant. le questionnement sur la religion et les dieux est très bien amené.
