>
Critique de Charlit
Rouen, 2008. En pleine Armada, plusieurs marins sont retrouvés assassinés. C'est le début d'une course contre la montre pour retrouver le coupable avant que la foule n'apprenne la nouvelle et ne fuit les festivités.
Ce roman se lit plutôt bien grâce au suspens entretenu par Michel Bussi. Dès le premier chapitre, un fait mystérieux se produit. Je l'ai gardé en tête tout au long de ma lecture pour essayer de deviner qui était le coupable, sans succès. de plus, les chapitres sont courts et leur fin laisse toujours planer un suspens qui donne envie de poursuivre l'enquête.
Malgré tout, je ressors peu convaincue par l'intrigue qui me semble peu crédible. J'ai également été gênée par le nombre trop important de personnages, d'autant plus que leur personnalité est peu creusée. Et puis, j'ai retrouvé des ingrédients souvent présents dans les romans de Michel Bussi mais qui me lassent : des personnages aux noms et prénoms incongrus, des jeux de mots tirés par les cheveux dans le titre des chapitres, la présence d'une jeune femme forcément aguicheuse et superficielle, objet de désir de tous les hommes qui la croisent. Ces éléments n'apportent rien à l'intrigue et frôlent même le ridicule.
Je ressors mitigée de ma lecture. Néanmoins, je retiendrai son décor atypique, l'Armada de Rouen, que je ne connaissais pas.
Ce roman se lit plutôt bien grâce au suspens entretenu par Michel Bussi. Dès le premier chapitre, un fait mystérieux se produit. Je l'ai gardé en tête tout au long de ma lecture pour essayer de deviner qui était le coupable, sans succès. de plus, les chapitres sont courts et leur fin laisse toujours planer un suspens qui donne envie de poursuivre l'enquête.
Malgré tout, je ressors peu convaincue par l'intrigue qui me semble peu crédible. J'ai également été gênée par le nombre trop important de personnages, d'autant plus que leur personnalité est peu creusée. Et puis, j'ai retrouvé des ingrédients souvent présents dans les romans de Michel Bussi mais qui me lassent : des personnages aux noms et prénoms incongrus, des jeux de mots tirés par les cheveux dans le titre des chapitres, la présence d'une jeune femme forcément aguicheuse et superficielle, objet de désir de tous les hommes qui la croisent. Ces éléments n'apportent rien à l'intrigue et frôlent même le ridicule.
Je ressors mitigée de ma lecture. Néanmoins, je retiendrai son décor atypique, l'Armada de Rouen, que je ne connaissais pas.
