Arthur de Bussières écrit surtout des sonnets en alexandrins, même si des poèmes de différentes longueurs et différents mètres apportent un peu de variété au recueil, où se fait entendre le ton mélancolique du romantisme québecois et surtout de l'école littéraire de Montréal à laquelle appartenait
Emile Nelligan,
Arthur de Bussières. C'est donc un chant de la douleur, de la nostalgie, de l'amour quelque peu malheureux, mais d'où surgit parfois un regain de force, qui permet de vivre encore.
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