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Critique de bdelhausse
Compulsivement, Hercula s'est acheté un nouveau manteau dans une boutique de fringues de seconde main. Bleu électrique. Elle n' pouvait faire autrement que l'acheter (doit-on y voir un cliché de l'éternel féminin... je rigole, bien sûr).
Elle trouve dans la doublure un appel à l'aide, ainsi qu'une clé... Il n'en faut pas davantage pour qu'Hercula se lance dans une enquête qui semble perdue d'avance. En effet, l'appel au secours émane sans nul doute d'une personne morte depuis lors.
Et quand la vie d'Hercula est mise en danger par le conducteur de cette berline noire qui surgit à l'improviste, elle n'a plus le choix... il faut mettre ses parents au courant. Mais ils n'aiment pas qu'Hercula outrepasse leurs ordres...
Comme à son habitude, Betsy Byars démarre en force. Les 30 premières pages sont addictives. Mais comment finir... c'est en effet dans la seconde partie du récit que les choses deviennent moins cohérentes. Les rapports aux parents, les méchants qui hésitent... toute une série de petits couacs dans une intrigue qui avait fort bien démarré, pourtant.
Mention insuffisante pour les illustrations... La couverture bidouillée à l'ordinateur, ma belle-mère fait mieux. Les illus à l'intérieur... où Hercula n'est soudainement plus rousse... Beuârk...
J'apprécie les romans de Betsy Byars car ils ne font intervenir aucun élément surnaturel (même si on est parfois tenté d'y croire) et constituent ainsi un contrepoint intéressant à la série des Chairs de Poule où le fantastique domine. Mais ce tome-ci est une petite déception.
Elle trouve dans la doublure un appel à l'aide, ainsi qu'une clé... Il n'en faut pas davantage pour qu'Hercula se lance dans une enquête qui semble perdue d'avance. En effet, l'appel au secours émane sans nul doute d'une personne morte depuis lors.
Et quand la vie d'Hercula est mise en danger par le conducteur de cette berline noire qui surgit à l'improviste, elle n'a plus le choix... il faut mettre ses parents au courant. Mais ils n'aiment pas qu'Hercula outrepasse leurs ordres...
Comme à son habitude, Betsy Byars démarre en force. Les 30 premières pages sont addictives. Mais comment finir... c'est en effet dans la seconde partie du récit que les choses deviennent moins cohérentes. Les rapports aux parents, les méchants qui hésitent... toute une série de petits couacs dans une intrigue qui avait fort bien démarré, pourtant.
Mention insuffisante pour les illustrations... La couverture bidouillée à l'ordinateur, ma belle-mère fait mieux. Les illus à l'intérieur... où Hercula n'est soudainement plus rousse... Beuârk...
J'apprécie les romans de Betsy Byars car ils ne font intervenir aucun élément surnaturel (même si on est parfois tenté d'y croire) et constituent ainsi un contrepoint intéressant à la série des Chairs de Poule où le fantastique domine. Mais ce tome-ci est une petite déception.
