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Critique de AmelieBCEI
J'ai lu "The Game" d'Antonia Susan Byatt en anglais, car il n'existe pas de traduction en français de ce roman.
Malheureusement, le style de Byatt a été un réel défi pour moi : les descriptions sont très riches, trop riches, et les nombreuses digressions ou réflexions psychologiques viennent complexifier encore plus la compréhension. Je n'ai pas compris l'intérêt de certaines scènes à rallonge ou de certaines remarques. Je suis sans doute passée à côté...
Dans ce roman, on suit 2 soeurs, Cassandra et Julia Corbett. La première est une universitaire introvertie, la deuxième une romancière à succès. Leur relation est une sorte de rivalité, qui remonte à leur jeunesse lorsqu'elles jouaient notamment à un jeu inventé en grande partie par Cassandra (d'où le titre du roman...). Il y a des non-dits, de la jalousie, du narcissisme, de la folie aussi sans aucun doute.
Le personnage de Julia est de mon point de vue insupportable, à chercher auprès de sa soeur une certaine reconnaissance tout en essayant de s'accaparer de ce qu'elle fait, de ce qu'elle pense.
Le retour de Simon, un garçon fréquenté durant leur jeunesse, va venir petit à petit détruire l'espèce d'équilibre qu'elles avaient trouvé dans leurs vies respectives. Ou peut-être que ce retour n'a fait qu'accélérer les choses. La fin est sordide.
Cette lecture fut "lourde", complexe, pas un moment de plaisir en tout cas, et j'en garderai peu de choses.
Malheureusement, le style de Byatt a été un réel défi pour moi : les descriptions sont très riches, trop riches, et les nombreuses digressions ou réflexions psychologiques viennent complexifier encore plus la compréhension. Je n'ai pas compris l'intérêt de certaines scènes à rallonge ou de certaines remarques. Je suis sans doute passée à côté...
Dans ce roman, on suit 2 soeurs, Cassandra et Julia Corbett. La première est une universitaire introvertie, la deuxième une romancière à succès. Leur relation est une sorte de rivalité, qui remonte à leur jeunesse lorsqu'elles jouaient notamment à un jeu inventé en grande partie par Cassandra (d'où le titre du roman...). Il y a des non-dits, de la jalousie, du narcissisme, de la folie aussi sans aucun doute.
Le personnage de Julia est de mon point de vue insupportable, à chercher auprès de sa soeur une certaine reconnaissance tout en essayant de s'accaparer de ce qu'elle fait, de ce qu'elle pense.
Le retour de Simon, un garçon fréquenté durant leur jeunesse, va venir petit à petit détruire l'espèce d'équilibre qu'elles avaient trouvé dans leurs vies respectives. Ou peut-être que ce retour n'a fait qu'accélérer les choses. La fin est sordide.
Cette lecture fut "lourde", complexe, pas un moment de plaisir en tout cas, et j'en garderai peu de choses.
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