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Critique de Alafey
Suite et fin de la trilogie… très décevante.
Francesca, la troisième du trio de jeunes femmes, a endossé l'identité de son amie d'enfance défunte, pour enquêter sur ceux qui ont tué sa famille et son amie. Mais Declan, qui connaissait aussi l'ancienne Francesca et qui est devenu espion, cherche à la démasquer.
Cette romance historique se déroulant au XIXe siècle aurait pu être intéressante… Mais l'auteure a inventé, depuis le tome précédent, une organisation secrète qui manipulerait la Grande-Bretagne depuis des siècles. Quand on découvre leurs motivations, on est atterré : c'est digne des plus mauvais films hollywoodiens imaginant des méchants très méchants qui veulent le pouvoir sur un peuple qu'ils méprisent. Oui, bien sûr. Mais ça ne s'arrête pas là. L'auteure a transformé sa trilogie en roman porno-chic de pacotille, avec des séances rituelles caricaturales — sous prétexte d'érotisme — où viennent s'encanailler les membres de cette organisation. J'ai complètement décroché.
On est loin de la romance historique, et le roman se vautre dans le grand n'importe quoi.
Lien : https://alafey.wordpress.com..
Francesca, la troisième du trio de jeunes femmes, a endossé l'identité de son amie d'enfance défunte, pour enquêter sur ceux qui ont tué sa famille et son amie. Mais Declan, qui connaissait aussi l'ancienne Francesca et qui est devenu espion, cherche à la démasquer.
Cette romance historique se déroulant au XIXe siècle aurait pu être intéressante… Mais l'auteure a inventé, depuis le tome précédent, une organisation secrète qui manipulerait la Grande-Bretagne depuis des siècles. Quand on découvre leurs motivations, on est atterré : c'est digne des plus mauvais films hollywoodiens imaginant des méchants très méchants qui veulent le pouvoir sur un peuple qu'ils méprisent. Oui, bien sûr. Mais ça ne s'arrête pas là. L'auteure a transformé sa trilogie en roman porno-chic de pacotille, avec des séances rituelles caricaturales — sous prétexte d'érotisme — où viennent s'encanailler les membres de cette organisation. J'ai complètement décroché.
On est loin de la romance historique, et le roman se vautre dans le grand n'importe quoi.
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