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Critique de svecs
L'hiver à Seoul. La froideur d'un train. Un vieillard fait la manche dans l'indifférence quasi-générale. Il provoque la curiosité de Bon-Gu, petit garçon qui débarque de sa province avec sa mère. Ils viennent voir son père qui n'a pas donné de nouvelles depuis plusieurs mois. Volià l'accroche de ce récit simple et touchant. le propos reste malgré tout caricatural, opposant la simplicité et la chaleur des petits provinciaux et des démunis face à la froideur d'une ville inhumaine. Ce petit livre et joli et naïf, sans prétention. Je lui pardonne certaines facilités, quelques coïncidences un peu trop grosses parce qu'il se dégage une gentillesse qui fait du bien.
