Je me souviens de ce premier album du Grand Duduche, préfacé par
René Goscinny.
Ce Duduche en blouse grise et baskets, dépérissait dans ce lugubre lycée de province.
La fille du proviseur lui offrait un chiche morceau de soleil, au pauvre pensionnaire que menaçait les heures de colle distribuées par le pion Belphégor.
J' étais ravi par ces vues, avec éclatés et sur doubles pages qui détaillaient les classes, logements et personnages de ce lycée/prison.
Jamais les autres livres de
Cabu - pourtant excellents - ne m'ont laissé cette nostalgie et le même goût inimitable que cet album -l à.
Commenter  J’apprécie         70