Il y a des romans au style commun, au phrasé ennuyeux qui s'éternisent sur des centaines de pages, trop de pages, dont je passe des paragraphes sans aucun remords. Et il y a
Calaferte que je déguste lentement, dont je savoure chaque mot pour ne pas en laisser une miette. Dur et tendre à la fois, il décrit la misère et l'amour qui a la force de l'en sortir.
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