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Critique de LoupAlunettes
Une version du conte ni complètement éloignée de l'originale ni complètement la même, c'est le propre de la parodie.
Davide Cali nous invite à rire un peu avec non pas une version de la Belle au bois dormant revue et corrigée mais trois.
Et si suite à la malédiction, la Belle dormait partout ou et si la Belle avait mauvaise haleine ou si elle était une sorcière qui devenait princesse?
Et dire que cela était parti de l'oubli d'une invitation à une fée.
Doit-on incriminer les services du courrier du royaume?
Non non, le roi et la reine avaient vraiment oublié d'invité la treizième fée au baptême (13, c'est pas bon) et l'auteur ajoute qu'il n'y avait pas assez de vaisselle en or pour recevoir.
Il n'y avait délibérément pas d'intention de froisser.
Toujours est-il que dans cette version du conte la pauvre Aurore ne sera pas frappée du sommeil de 100 ans mais d'une affreuse affliction, la Narcolepsie.
Elle tombe comme une mouche la tête la première dans un ouvrage de tricot ou dans un gâteau à déguster.
La sorcière du 13 ne l'aura pas loupée et la pauvre enfant loupera quelques heures de loisirs partagés, c'est certain.
Les illustrations d'Amélie Falière dépoussière également la version, avec un habillage très coloré beaucoup plus contemporain.
Comment défier le mauvais sort?
Cali saute à fourchon par dessus la version d'origine et ajoute à l'intrigue un objet magique à trouver pour sortir Aurore de son cycle de sommeil.
Quel est cet objet oublié?
Les sorcières négligées des contes de Cali l'ont mauvaise et il n'est pas facile pour des parents de princesse de l'imaginer métamorphosée en rat crevé le jour de ses 16 ans.
Heureusement, il y a les bonnes fées marraines qui arrangent tout (ou font empirer les choses, pour le plaisir d'une histoire plus drôle). Imaginer une princesse qui se prénommerait Petit Beurre au lieu de Crépuscule comme le voulait ses parents.
L'album a de la fantaisie à revendre et on s'amuse bien.
Il invite même en fin de récits le jeune lecteur à imaginer sa propre version du conte.
A lire d'une traite ou une pour un soir, au choix.
Davide Cali nous invite à rire un peu avec non pas une version de la Belle au bois dormant revue et corrigée mais trois.
Et si suite à la malédiction, la Belle dormait partout ou et si la Belle avait mauvaise haleine ou si elle était une sorcière qui devenait princesse?
Et dire que cela était parti de l'oubli d'une invitation à une fée.
Doit-on incriminer les services du courrier du royaume?
Non non, le roi et la reine avaient vraiment oublié d'invité la treizième fée au baptême (13, c'est pas bon) et l'auteur ajoute qu'il n'y avait pas assez de vaisselle en or pour recevoir.
Il n'y avait délibérément pas d'intention de froisser.
Toujours est-il que dans cette version du conte la pauvre Aurore ne sera pas frappée du sommeil de 100 ans mais d'une affreuse affliction, la Narcolepsie.
Elle tombe comme une mouche la tête la première dans un ouvrage de tricot ou dans un gâteau à déguster.
La sorcière du 13 ne l'aura pas loupée et la pauvre enfant loupera quelques heures de loisirs partagés, c'est certain.
Les illustrations d'Amélie Falière dépoussière également la version, avec un habillage très coloré beaucoup plus contemporain.
Comment défier le mauvais sort?
Cali saute à fourchon par dessus la version d'origine et ajoute à l'intrigue un objet magique à trouver pour sortir Aurore de son cycle de sommeil.
Quel est cet objet oublié?
Les sorcières négligées des contes de Cali l'ont mauvaise et il n'est pas facile pour des parents de princesse de l'imaginer métamorphosée en rat crevé le jour de ses 16 ans.
Heureusement, il y a les bonnes fées marraines qui arrangent tout (ou font empirer les choses, pour le plaisir d'une histoire plus drôle). Imaginer une princesse qui se prénommerait Petit Beurre au lieu de Crépuscule comme le voulait ses parents.
L'album a de la fantaisie à revendre et on s'amuse bien.
Il invite même en fin de récits le jeune lecteur à imaginer sa propre version du conte.
A lire d'une traite ou une pour un soir, au choix.
