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Critique de LoupAlunettes
Un nouveau catalogue des excuses abracadabrantesques et drôles à servir avec conviction et sans garanties de succès à l'usage si ce n'est la garantie de faire sourire devant autant d'imagination.
Non repris ni remboursé, rire un bon coup ne coûte rien, alors allons y.
Après les excuses des devoirs non faits, un retour farfelu sur les vacances passées, voici quelques idées pour justifier le retard à l'école.
Nous avons déja adopter le petit héros sans nom et cette nouvelle histoire commence ainsi:
"Alors pourquoi es-tu en retard ce matin?...
- Hum, c'est une longue histoire...".
Il y a un fil d'histoires qui se tisse, empruntant les chemins de la Science Fiction et des Contes, jusqu'à la chute qui pourrait éveiller le petit doute.
Dans les histoires, avec les histoires, tout est possible. Les auteurs nous en donnent un exemple réjouissant.
Les extraterrestres, le Yéti, les fourmis géantes, le joueur de flûte de Hamelin, des majorettes et des ninjas sont invités à garnir le long mot d'excuses et la maîtresse intervient de temps à autre pour demander nouvelle justification comme si cela n'était pas si énorme. Elle ouvre donc à chaque reprise sur la surenchère du petit, presque stoïque.
Les mythomanes n'ont jamais été aussi mignon et drôles.
On peut affirmer que les auteurs se font plaisir.
Non repris ni remboursé, rire un bon coup ne coûte rien, alors allons y.
Après les excuses des devoirs non faits, un retour farfelu sur les vacances passées, voici quelques idées pour justifier le retard à l'école.
Nous avons déja adopter le petit héros sans nom et cette nouvelle histoire commence ainsi:
"Alors pourquoi es-tu en retard ce matin?...
- Hum, c'est une longue histoire...".
Il y a un fil d'histoires qui se tisse, empruntant les chemins de la Science Fiction et des Contes, jusqu'à la chute qui pourrait éveiller le petit doute.
Dans les histoires, avec les histoires, tout est possible. Les auteurs nous en donnent un exemple réjouissant.
Les extraterrestres, le Yéti, les fourmis géantes, le joueur de flûte de Hamelin, des majorettes et des ninjas sont invités à garnir le long mot d'excuses et la maîtresse intervient de temps à autre pour demander nouvelle justification comme si cela n'était pas si énorme. Elle ouvre donc à chaque reprise sur la surenchère du petit, presque stoïque.
Les mythomanes n'ont jamais été aussi mignon et drôles.
On peut affirmer que les auteurs se font plaisir.
