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Critique de Lolita11
Je souhaite que cet ouvrage connaisse le succès qui lui revient. Tout y est!
Ce roman renferme des qualités d'images, de sensualités et beaucoup d'émotions. J'ai beaucoup aimé la partie enfance/adolescence, très émouvante. le descriptif, que l'auteur donne, transpire de vérité. Il pose un regard à la fois juste et attendrissant sur l'enfant car chacun sait de quoi sont capables les enfants entre eux.
Enrevanche je ne sais pas pourquoi, JLC a choisi des jumeaux ? Après réflexion, le choix reste judicieux et apporte beaucoup à l'histoire. Une sorte de double héros. Héros et antihéros à la fois. C'est aussi la représentativité de la dualité qui existe en nous. L'envie et la non-envie, les souhaits et la réalité, j'ai beaucoup aimé. J'ai aimé aussi la vie que l'auteur donne aux personnages "satellites". Ils sont là, mais pas trop, ils apportent une autre atmosphère, grise, un peu comme dans un roman de Simenon. Peut-être que le clan des méchants méritait d'avantage... Mais après réflexion, j'imagine, qu'en leur donnant plus de vie, JLC aurait pu se perdre dans l'intrigue et égarer ‘peut-être' les personnages principaux. Après tout, ils sont là comme une menace latente et la menace doit rester subjective... Et puis il y a cette quête, cette divine présence, qui rappelle qu'il existe autre chose sur notre planète qui est de l'ordre de l'impalpable.
Confidence pour confidence, pour un premier roman, c'est un carton plein !!! L'histoire m'a embarquée dès les premières lignes de lecture par la curiosité des personnages, par le suspens qui m'a tenu en haleine jusqu'au bout. Elle m'a fait également voyager par la précision et la description des lieux, situations et évènements. J'ai été très émue par les frères jumeaux très attachants que tout sépare, le fossé que leur différence a creusé entre eux laisse place à l'indifférence, j'ai eu peine à croire à leur réconciliation. La présence d'Angelina est curieuse, troublante, rassurante, mais tellement réconfortante !! Cet auteur sait, sans aucun doute, toucher le coeur des Hommes en tout cas c'est sûr il a touché le miens.
Ce roman renferme des qualités d'images, de sensualités et beaucoup d'émotions. J'ai beaucoup aimé la partie enfance/adolescence, très émouvante. le descriptif, que l'auteur donne, transpire de vérité. Il pose un regard à la fois juste et attendrissant sur l'enfant car chacun sait de quoi sont capables les enfants entre eux.
Enrevanche je ne sais pas pourquoi, JLC a choisi des jumeaux ? Après réflexion, le choix reste judicieux et apporte beaucoup à l'histoire. Une sorte de double héros. Héros et antihéros à la fois. C'est aussi la représentativité de la dualité qui existe en nous. L'envie et la non-envie, les souhaits et la réalité, j'ai beaucoup aimé. J'ai aimé aussi la vie que l'auteur donne aux personnages "satellites". Ils sont là, mais pas trop, ils apportent une autre atmosphère, grise, un peu comme dans un roman de Simenon. Peut-être que le clan des méchants méritait d'avantage... Mais après réflexion, j'imagine, qu'en leur donnant plus de vie, JLC aurait pu se perdre dans l'intrigue et égarer ‘peut-être' les personnages principaux. Après tout, ils sont là comme une menace latente et la menace doit rester subjective... Et puis il y a cette quête, cette divine présence, qui rappelle qu'il existe autre chose sur notre planète qui est de l'ordre de l'impalpable.
Confidence pour confidence, pour un premier roman, c'est un carton plein !!! L'histoire m'a embarquée dès les premières lignes de lecture par la curiosité des personnages, par le suspens qui m'a tenu en haleine jusqu'au bout. Elle m'a fait également voyager par la précision et la description des lieux, situations et évènements. J'ai été très émue par les frères jumeaux très attachants que tout sépare, le fossé que leur différence a creusé entre eux laisse place à l'indifférence, j'ai eu peine à croire à leur réconciliation. La présence d'Angelina est curieuse, troublante, rassurante, mais tellement réconfortante !! Cet auteur sait, sans aucun doute, toucher le coeur des Hommes en tout cas c'est sûr il a touché le miens.
