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Critique de migdal
Encore une belle découverte due à Babelio, et en l'occurence à une critique de « lect71 », ce « polar du terroir », édité par Marivole, est un agréable roman estival dont l'action se déroule entre Auvergne et Berry, à l'époque de la mythique Lancia Fulvia (ce qui nous rajeunit) et nous fait partager la vie de Léon, un clochard, et celle de Dimitri, un homme charitable qui l'héberge dans une cave au milieu de piles de livres.
- Qui a volé le sac de Dimitri ?
- Que cache depuis seize ans ce sac ?
- Qui est réellement Léon ?
Avec ces trois questions, Serge Camaille offre deux cents pages de réponses, qui permettent de découvrir des personnages attachants, souvent ignorés des écrivains (sdf, aide soignante, ilotier) et révèlent Léon, belle personne qui achève une longue rédemption.
L'intrigue est astucieusement troussée et ce roman policier peut être mis entre toutes les mains ce qui est suffisamment rare pour être souligné.
En conclusion, « la main sur le sac » est une lecture aussi distrayante que reposante à déguster un verre de Saint Joseph à portée de main, un chat sur les genoux, et Summertime en musique de fond.
- Qui a volé le sac de Dimitri ?
- Que cache depuis seize ans ce sac ?
- Qui est réellement Léon ?
Avec ces trois questions, Serge Camaille offre deux cents pages de réponses, qui permettent de découvrir des personnages attachants, souvent ignorés des écrivains (sdf, aide soignante, ilotier) et révèlent Léon, belle personne qui achève une longue rédemption.
L'intrigue est astucieusement troussée et ce roman policier peut être mis entre toutes les mains ce qui est suffisamment rare pour être souligné.
En conclusion, « la main sur le sac » est une lecture aussi distrayante que reposante à déguster un verre de Saint Joseph à portée de main, un chat sur les genoux, et Summertime en musique de fond.
