Débordant de fantaisie. Sans oublier la malice et le plaisir des mots.
J'ai préféré la première moitié qui me semble plus cohérente. Dans la deuxième partie, des gadgets comme …
Lyonel Feininger et Walter Gropius me semblent un peu hasardés.
Quant à la photo en couverture, elle suggère une histoire romantique. Pour moi elle n'est pas vraiment romantique, elle est pittoresque et ancrée dans son terroir. La scène où le héros goûte la terre avant d'acheter son lopin de terrain en dit long. « Sur ce côté-là se dressait un olivier qui, à ce qu'on disait dans le pays, avait plus de mille ans. C'était bien là un arbre qu'on voudrait avoir sous les yeux au moment de mourir. [ ] La terre était bonne, Gnazio l'avait goûtée, toise par toise, avec sa fiasque de vin »
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