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Critique de michaelfenris
Difficile de résumer le deuxième tome d'IVM de Katia Campagne sans spoiler l'histoire, surtout pour ceux qui ont l'outrecuidance de ne pas avoir lu ni le 1 ni le 2 (j'ai des noms) Pour faire simple, nous avons fait la connaissance de Stéphanie Brincks et de sa fille Eléane, obligées de fuir le délire d'un mari obnubilé par la secte dont il fait partie, et qui rabaisse la femme à moins que rien. Réfugiées en France, elles espèrent pouvoir oublier le passé, mais le passé les rattrapent de la façon la plus violente et la plus sinistre qu'il soit. IVM2 commence quelques mois plus tard. Eléane, possédée par l'esprit de son frère, n'a qu'une envie, retourner aux sources du Mal, là où tout a commencé, là où son père a cédé à la folie en devenant le disciple zélé de Norman Dales, le fondateur de la secte…
En ouvrant IVM 2, je me suis demandé où Katia allait m'entrainer. Les premiers chapitres du Tome 1 m'avaient littéralement scotchés, mis mal à l'aise, alors que je suis d'un naturel à encaisser. Très vite cependant l'action s'enchaine, sans temps mort, l'auteure situant cette fois son roman su plusieurs plans et plusieurs personnes. Une remontée au source du mal, l'explication de nombreux points d'ombres du tome 1: ce qu'est devenu Allan après le départ de sa mère et de sa soeur. La folie de Brian le père, mais surtout la montée en puissance de Norman, avec quelques scènes qui, sans atteindre la puissance du début du 1, n'en sont pas moins très dures à encaisser. Katia parvient à recentrer l'action sur Eleane, occultant du coup sa mère, dont le caractère trop lisse me donnait je l'avoue de l'urticaire par moments. Si l'on ajoute quelques petites touches de fantastiques bien dosées, on obtient au final un roman parfaitement maitrisé, bien plus à mon sens que ne l'était le tome 1, et qui confirme tout le talent le conteuse de Katia. j'aurai lu entre temps Kuru qui ne fait que me conforter dans cette idée. Il ne me reste plus qu'à me délecter du Tome , dont je sais par avance qu'il ne pourra que clôturer brillamment cette trilogie originale.
En ouvrant IVM 2, je me suis demandé où Katia allait m'entrainer. Les premiers chapitres du Tome 1 m'avaient littéralement scotchés, mis mal à l'aise, alors que je suis d'un naturel à encaisser. Très vite cependant l'action s'enchaine, sans temps mort, l'auteure situant cette fois son roman su plusieurs plans et plusieurs personnes. Une remontée au source du mal, l'explication de nombreux points d'ombres du tome 1: ce qu'est devenu Allan après le départ de sa mère et de sa soeur. La folie de Brian le père, mais surtout la montée en puissance de Norman, avec quelques scènes qui, sans atteindre la puissance du début du 1, n'en sont pas moins très dures à encaisser. Katia parvient à recentrer l'action sur Eleane, occultant du coup sa mère, dont le caractère trop lisse me donnait je l'avoue de l'urticaire par moments. Si l'on ajoute quelques petites touches de fantastiques bien dosées, on obtient au final un roman parfaitement maitrisé, bien plus à mon sens que ne l'était le tome 1, et qui confirme tout le talent le conteuse de Katia. j'aurai lu entre temps Kuru qui ne fait que me conforter dans cette idée. Il ne me reste plus qu'à me délecter du Tome , dont je sais par avance qu'il ne pourra que clôturer brillamment cette trilogie originale.
