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Critique de CyranoGirl
Ce troisième tome boucle les différents fils rouge afin de finir sur un bel « Happy Ending » à l'américaine. Peu de rebondissements et beaucoup d'interactions entre les personnages. Si je continue ma comparaison avec Cinquante Nuances de Grey qui gagne en complexité au fur et à mesure que l'histoire avance, ici c'est tout le contraire. Je ne sais pas si une trilogie était réellement nécessaire.
Alors oui, Phoebe P. Campbell n'écrit pas mal, mais elle présente une histoire qui n'est pas vraisemblable et là est le problème. Je n'ai pas pu m'identifier à l'héroïne parce que c'est tout simplement impossible de me dire qu'une simple pigiste tombe « par hasard » sur son patron, qu'elle ne connaît pas, à l'une de ses interviews, et qu'ils tombent, comme par hasard, amoureux l'un de l'autre. Et bien sûr, son patron est immensément riche et veut la combler de cadeaux et de vêtements, et de voyages (beaucoup de voyages!).
On se retrouve une nouvelle fois face à une comédie romantique comme à l'écran où tout est tellement plastique et superficiel qu'il n'y a pas véritablement de profondeur ni d'âme.
Lecture rapide, peut-être bien, mais ni « feel good », ni constructive. À mettre sur ma pile à donner.
Alors oui, Phoebe P. Campbell n'écrit pas mal, mais elle présente une histoire qui n'est pas vraisemblable et là est le problème. Je n'ai pas pu m'identifier à l'héroïne parce que c'est tout simplement impossible de me dire qu'une simple pigiste tombe « par hasard » sur son patron, qu'elle ne connaît pas, à l'une de ses interviews, et qu'ils tombent, comme par hasard, amoureux l'un de l'autre. Et bien sûr, son patron est immensément riche et veut la combler de cadeaux et de vêtements, et de voyages (beaucoup de voyages!).
On se retrouve une nouvelle fois face à une comédie romantique comme à l'écran où tout est tellement plastique et superficiel qu'il n'y a pas véritablement de profondeur ni d'âme.
Lecture rapide, peut-être bien, mais ni « feel good », ni constructive. À mettre sur ma pile à donner.
