On y apprend énormément de choses, sur Camus ET sur
Roger Martin du Gard.
D'ailleurs, je me suis remis à Camus pour le coup.
On sent le respect de l'un et de l'autre à travers les lettres.
Et puis, au fur et à mesure, le jeune s'émancipe, mais, parfois, écoute tout de même d'une oreille attentive. Il ne l'a d'ailleurs pas oublié lors du prix Nobel de la littérature.
Et puis, on se remet dans le contexte de l'époque de la Guerre Froide par exemple, où l'on a peur de la Seconde Guerre Mondiale. On fait forcément en parallèle avec le conflit entre l'Ukraine et la Russie.
Commenter  J’apprécie         00