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Critique de EFourn


Mille et une choses devraient être dites sur ces confessions. Outre qu'elles illustrent parfaitement le concept de « banalité du mal » d'Arendt, je trouve que ce témoignage de Théodore Canot est intéressant parce qu'on y découvre tout le mécanisme de l'industrie esclavagiste sur le sol africain. Une industrie qui n'enrichissait pas que le nouveau monde, mais aussi les roitelets et leurs cours des côtes africaines. Une industrie autour de laquelle s'articulait toute la vie économique et politique d'une bonne partie de la planète (Afrique y compris) et ou l'esclave servait de monnaie.
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