>
Critique de Luria
Ce matin, j'ai fait une insomnie. Aux alentours de la nouvelle lune, quand les nuits sont charbon et étrangement plus calmes. Dommage de ne pas dormir.
Alors j'ai pris le premier livre qui était à portée de main. Une BD achetée la veille, et posée négligemment à côté de mon lit.
Je crois que la première chose qui m'est venue à l'esprit c'est ce trait infiniment doux et pourtant très vivant.
Et une explosion de couleur, de mouvement.
D'un monde, riche, étrange à portée de boîte à musique qui se trouve peuplé de tant de diverses créatures que j'en retrouvais le monde foisonnant de Chihiro.
Les auteurs arrivent en quelques lignes, cases, pages à expliquer beaucoup que le récit en devienne lourd. A terminer l'histoire qui appelle à une suite mais sans rien laisser en suspend. Histoire qui, à bien y réfléchir n'est pas si originale ou riche que cela, mais on en a tellement plein les mirettes que cela ne se voit pas.
Du grand art.
Alors j'ai pris le premier livre qui était à portée de main. Une BD achetée la veille, et posée négligemment à côté de mon lit.
Je crois que la première chose qui m'est venue à l'esprit c'est ce trait infiniment doux et pourtant très vivant.
Et une explosion de couleur, de mouvement.
D'un monde, riche, étrange à portée de boîte à musique qui se trouve peuplé de tant de diverses créatures que j'en retrouvais le monde foisonnant de Chihiro.
Les auteurs arrivent en quelques lignes, cases, pages à expliquer beaucoup que le récit en devienne lourd. A terminer l'histoire qui appelle à une suite mais sans rien laisser en suspend. Histoire qui, à bien y réfléchir n'est pas si originale ou riche que cela, mais on en a tellement plein les mirettes que cela ne se voit pas.
Du grand art.
