Maeva en a ras la foufounette des pulsions lubriques de son compagnon.
Pas de chance pour elle, parce que dès le premier chapitre, elle se perd dans un sacré dédale, sans réseau, et en compagnie d'un drôle de clodo.
Le Labyrinthe de l'horreur (qui aurait dû s'appeler le Labyrinthe du viol) n'essaye même pas de proposer un semblant d'histoire en se contentant d'enchaîner les sévices sexuels.
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