Calendar Girl, tome 4 : Avril

j'ai enchainé les 3 premiers tomes, beaucoup ri et fait une pause ! Etant de nouveau en période rush au boulot, toujours besoin de lire mais pas de me prendre la tête, me voilà dans le tome 4, torché en 3h comme les précédents. L'avantage est qu'au bout de 20 pages, je suis de nouveau morte de rire à lire les pensées hautement spirituelles de cette fille totalement schyzophrène : on se sait pas si elle a passé l'adolescence dans sa tête ! enfin elle un peu plus de vocabulaire, même si elle est toujours vulgaire. Son client du mois est au début un gros boulet et on se dit enfin que escort n'est peut-être pas si simple et qu'elle ne va tomber sur un beau-gosse-bombe-sexuelle-gentleman à chaque fois... pfff, rappelez les licornes et les Bisounours,c ar bien sûr sous ses apparences de gros lourd, le néanmoins beau-gosse riche est en fait un timide amoureux en secret de sa publiciste ! Hop revoilà la Mia bnne-fée-Mère-thérésa mais en plus chaude et baisable (elle se qualifie ainsi elle-même) qui apparaît ! évidemment, à la fin, il y a une happy end, une jolie lettre en mode séance d'analyse psychologique (encore une !). finalement être escort c'est toujours un job de rêve, où on apprend plein de chose (s'aimer soi-même, organiser un gala de 400 personnes en une semaine ...). Sur la question WES, l'auteure nous en donne une pincée pour maintenir le suspense, ce qui entraîne des cogitations intenses et un peu de chagrin pour la pauvre petite Mia, mais heureusement Mia se rappelle qu'elle fait cette année d'escort pour sa famille et pour sa formation personnelle ! Enfin, rassurez-vous, si Mia passe les 4/5° du bouquin à jouer les entremetteuses, il y a quand même du sexe : elle mâte son client et sa girlfriend, et elle retrouve Alec le Frenchy !
je trouve décidément cette série très drôle (pas sûre que ce soit le but initial !) et distrayante ! c'est comme regarder une téléréalité... ça vous lobotomise pendant 3h, avant de retourner à la vraie vie, à la réalité !!!