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Critique de Rodin_Marcel
Massimo Carlotto «Arrivederci amore» - Ed. Métailié, 2003 - collection Points (ISBN 978-2-7578-1334-8)
Suite à ma lecture de «L'immense obscurité de la mort» qui m'avait paru excellent, ce roman (publié antérieurement) me semble un peu moins bon.
L'auteur décrit la trajectoire de l'un de ces anciens des Brigades rouges ou du terrorisme d'extrême-gauche des années de plomb en Italie, devenu guérillero, puis tentant de revenir dans le circuit des «gens normaux». Il devra se soumettre à tous ceux qui entendent bien l'aider mais en lui demandant «de petits services annexes». La police aussi bien que les milieux juridiques ou politiques sont ainsi décrits à travers la corruption généralisée qui semble régner en Italie. Arrivent également dans le milieu romanesque les nouvelles mafias des anciens pays communistes d'Europe (Roumanie, Albanie, avec la variante kosovare), qui ont une réputation redoutable.
Quel est le degré de véracité d'une telle description ?
Suite à ma lecture de «L'immense obscurité de la mort» qui m'avait paru excellent, ce roman (publié antérieurement) me semble un peu moins bon.
L'auteur décrit la trajectoire de l'un de ces anciens des Brigades rouges ou du terrorisme d'extrême-gauche des années de plomb en Italie, devenu guérillero, puis tentant de revenir dans le circuit des «gens normaux». Il devra se soumettre à tous ceux qui entendent bien l'aider mais en lui demandant «de petits services annexes». La police aussi bien que les milieux juridiques ou politiques sont ainsi décrits à travers la corruption généralisée qui semble régner en Italie. Arrivent également dans le milieu romanesque les nouvelles mafias des anciens pays communistes d'Europe (Roumanie, Albanie, avec la variante kosovare), qui ont une réputation redoutable.
Quel est le degré de véracité d'une telle description ?
