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Critique de dannso


J'étais contente d'avoir été sélectionnée pour recevoir ce livre lors de la dernière masse critique, la mauvais genres, celle à laquelle je ne gagne quasiment jamais. Et je renouvelle mes remerciements à Babelio et aux éditions Denoël, même si cette lecture est une grosse déception pour moi.

Jérôme se réveille à l'hôpital. Il croit avoir été victime d'un accident. Il apprend qu'il a été victime d'une agression dans la prison où il est incarcéré depuis deux ans pour le meurtre de sa femme et qu'il était policier et non gérant d'une société comme il le pensait. Sa mémoire lui échappe, il s'est inventé une vie entière de faux souvenirs. A l'aide de son avocat et d'une psychologue, sorti de prison sur la base d'un nouveau témoignage, il va reprendre l'enquête.

Le roman est construit sur l'alternance du présent : l'agression de Jérôme, sa sortie de prison, sa recherche de la vérité et le passé : l'enquête qu'il menait à l'époque où sa femme est morte et où cette mystérieuse psychologue faisait équipe avec lui.
Ce procédé souvent utilisé fonctionne bien et entretient le suspense.

Et pourtant j'ai eu du mal à accrocher, sans identifier vraiment les raisons de ce sentiment. Je n'arrivais pas à entrer dans l'histoire. A la fois dans l'enquête du passé, avec des incohérences à mon avis sur le comportement des policiers, et puis sur celui de Jérôme vis-à-vis de sa femme. Et encore plus, sur ce qui se passe au présent, le revirement providentiel de quelques policiers impliqués dans l'enquête de l'époque, juste au moment où il faut faire sortir Jérôme de prison pour le garder en vie, l'accélération brutale des évènements, les coïncidences, la découverte d'un prospectus qui suffit à faire tout comprendre, ... Je suis restée sur le quai.

Ceci n'est que mon avis et vu la note sur Babelio, j'ai du rater quelque chose.
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