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Critique de VirginieCM
Le lac de Côme, un endroit particulièrement remarquable en Italie, réputé pour sa beauté et la douceur de vivre qui règne tout autour.
L'homme qui nettoie tue, selon un schéma bien particulier : des femmes blondes, globalement toujours dans la même tranche d'âge qu'il repère grâce à son métier d'éboueur, ne laissant aucune trace. le Lac lui permet de se débarrasser des cadavres…Autour du Lac aussi, la chasseuse de mouches, une femme qui aide les femmes maltraitées par les hommes qui les entourent…
Parfois, le Lac rend ce qu'on souhaite lui donner, et c'est quand l'homme qui nettoie sauve une jeune fille, et qu'un bras de femme est retrouvée, intrigant la chasseuse de mouches, que leurs histoires vont se croiser…
L'auteur prouve encore qu'il est un virtuose du thriller : il joue avec les nerfs du lecteur en anonymant ses principaux personnages, en renforçant certains effets de surprise. L'aspect « page-turner » du livre est, de plus, souligné par l'alternance des intrigues, entre lesquelles vient s'intercaler une troisième histoire, plus ancienne, dont on comprend vite l‘objectif. Ce roman amène aussi à s'interroger sur l'inné et l'acquis : l'homme est-il foncièrement destiné à faire le mal, ou les autres / la société peuvent-ils l'y pousser ?
Même si j'ai trouvé la fin, certes surprenante, un peu expédiée, j'ai, encore une fois, été embarquée par le talent de Donato Carrisi.
L'homme qui nettoie tue, selon un schéma bien particulier : des femmes blondes, globalement toujours dans la même tranche d'âge qu'il repère grâce à son métier d'éboueur, ne laissant aucune trace. le Lac lui permet de se débarrasser des cadavres…Autour du Lac aussi, la chasseuse de mouches, une femme qui aide les femmes maltraitées par les hommes qui les entourent…
Parfois, le Lac rend ce qu'on souhaite lui donner, et c'est quand l'homme qui nettoie sauve une jeune fille, et qu'un bras de femme est retrouvée, intrigant la chasseuse de mouches, que leurs histoires vont se croiser…
L'auteur prouve encore qu'il est un virtuose du thriller : il joue avec les nerfs du lecteur en anonymant ses principaux personnages, en renforçant certains effets de surprise. L'aspect « page-turner » du livre est, de plus, souligné par l'alternance des intrigues, entre lesquelles vient s'intercaler une troisième histoire, plus ancienne, dont on comprend vite l‘objectif. Ce roman amène aussi à s'interroger sur l'inné et l'acquis : l'homme est-il foncièrement destiné à faire le mal, ou les autres / la société peuvent-ils l'y pousser ?
Même si j'ai trouvé la fin, certes surprenante, un peu expédiée, j'ai, encore une fois, été embarquée par le talent de Donato Carrisi.
