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Critique de ladesiderienne
Avec un nombre impressionnant de lecture de thrillers à mon palmarès, il est désormais difficile pour un auteur de m'épater. Et bien voilà, c'est fait ! Avec "Le chuchoteur", je découvre Donato Carrisi et j'avoue que je me suis prise une claque, d'autant plus forte qu'il s'agit d'un premier roman.
Le criminologue Goran Gavila participe à une enquête sur la disparition successive de cinq fillettes. Quand on découvre, dans une clairière, une fosse contenant six petits bras gauches, dont cinq appartiennent aux disparues, il faut se rendre à l'évidence : il y a une autre victime, inconnue celle-ci puisque sa disparition n'a pas été signalée. L'équipe de policiers fait donc appel à Mila Vasquez, spécialiste des enlèvements d'enfants. Peu à peu, un jeu de piste macabre va se mettre en place. Le tueur va rendre les petits cadavres, un à un, en les déposant dans un lieu précis qui va permettre aux flics de découvrir d'autres facettes du Mal. Pour trouver l'identité de la sixième fillette qu'ils espèrent encore en vie, ils n'ont pas d'autre choix que de se soumettre à cette manipulation diabolique.
Avec ce thriller, c'est une véritable descente aux enfers qui vous attend. Une fois entamée, impossible de freiner la chute car c'est un véritable page-turner que vous ne pourrez plus lâcher avant la fin. Bravo pour ce premier essai car sa construction en est tout simplement machiavélique, l'auteur joue avec brio avec la frontière du Bien et du Mal si fragile chez tout individu. Tous les aspects de l'enquête, que ce soit du point de vue scientifique ou psychologique, sont décortiqués. Cette précision chirurgicale m'a fait penser à l'univers de Franck Thilliez que j'adore. J'ai beaucoup aimé le personnage énigmatique de Mila. Il va falloir patienter pour découvrir ses secrets, de même que pour comprendre le sens du titre.
Une lecture qui m'a laissée sans voix à réserver bien sûr aux amateurs du genre. La suite "L"écorchée" m'attend dans un coin de ma PAL mais j'ai besoin d'une petite pause plus légère avant de replonger dans les ténèbres de Donato Carrisi. Un 20/20 pour la découverte de cet auteur qu'il faudra suivre sans hésitation
Le criminologue Goran Gavila participe à une enquête sur la disparition successive de cinq fillettes. Quand on découvre, dans une clairière, une fosse contenant six petits bras gauches, dont cinq appartiennent aux disparues, il faut se rendre à l'évidence : il y a une autre victime, inconnue celle-ci puisque sa disparition n'a pas été signalée. L'équipe de policiers fait donc appel à Mila Vasquez, spécialiste des enlèvements d'enfants. Peu à peu, un jeu de piste macabre va se mettre en place. Le tueur va rendre les petits cadavres, un à un, en les déposant dans un lieu précis qui va permettre aux flics de découvrir d'autres facettes du Mal. Pour trouver l'identité de la sixième fillette qu'ils espèrent encore en vie, ils n'ont pas d'autre choix que de se soumettre à cette manipulation diabolique.
Avec ce thriller, c'est une véritable descente aux enfers qui vous attend. Une fois entamée, impossible de freiner la chute car c'est un véritable page-turner que vous ne pourrez plus lâcher avant la fin. Bravo pour ce premier essai car sa construction en est tout simplement machiavélique, l'auteur joue avec brio avec la frontière du Bien et du Mal si fragile chez tout individu. Tous les aspects de l'enquête, que ce soit du point de vue scientifique ou psychologique, sont décortiqués. Cette précision chirurgicale m'a fait penser à l'univers de Franck Thilliez que j'adore. J'ai beaucoup aimé le personnage énigmatique de Mila. Il va falloir patienter pour découvrir ses secrets, de même que pour comprendre le sens du titre.
Une lecture qui m'a laissée sans voix à réserver bien sûr aux amateurs du genre. La suite "L"écorchée" m'attend dans un coin de ma PAL mais j'ai besoin d'une petite pause plus légère avant de replonger dans les ténèbres de Donato Carrisi. Un 20/20 pour la découverte de cet auteur qu'il faudra suivre sans hésitation
