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Critique de CyranoGirl
Dans un monde où ta valeur se résume à ta caste, et dans lequel certaines castes n'ont d'autres choix que de mourir de faim à certaines époques de l'année, c'est une aubaine lorsque le Souverain décide du début de la Sélection : une émission durant laquelle 35 candidates se disputent le titre de préférée de l'Héritier du trône ; une émission au terme de laquelle la préférée se retrouve propulsée au rang de princesse et Reine en devenir. de tout cela, America, l'héroïne, n'en a que faire. Elle est amoureuse et ne veut pas se battre pour le Prince. La situation de sa famille, cependant, l'enjoint à s'enrôler dans cette farce et elle se retrouve sélectionnée ; sa caste, sa personnalité et ses valeurs provoquant étincelles sur étincelles dans ce milieu si guindé.
Alors, avant toutes choses, ne nous voilons pas la face : il s'agit de romans pour adolescentes. le style est léger, simple, et c'est tout à fait ce qu'il me fallait après ces quelques mois de vide intellectuel. Mes yeux n'ayant plus eu l'habitude de caresser les pages d'un livre, un roman d'adolescente sans trop de complexité m'apparaissait comme parfait.
Le début est lent et un poil grotesque. Les personnages prennent du temps à prendre leur envol, ainsi que le contexte qui fait penser à la trilogie du même genre des Hunger Games. J'ai souvent levé les yeux au ciel pendant ces premiers chapitres, surtout parce que le personnage principal n'est pas forcément attractif de prime abord.
Une fois arrivée au palais, en revanche, les interactions entre les personnages deviennent plus intéressantes. En effet, les Sélectionnées sont plus complexes, finalement, que la famille d'America, ce qui rend les dialogues plus vifs et plus rythmés. le Prince est mignon, dans sa manière de parler et dans ses réactions face à America.
En bref, des sourcils levés, des petits sourires et quelques rires. Une lecture agréable. de quoi se remettre dans le bain tout doucement.
Alors, avant toutes choses, ne nous voilons pas la face : il s'agit de romans pour adolescentes. le style est léger, simple, et c'est tout à fait ce qu'il me fallait après ces quelques mois de vide intellectuel. Mes yeux n'ayant plus eu l'habitude de caresser les pages d'un livre, un roman d'adolescente sans trop de complexité m'apparaissait comme parfait.
Le début est lent et un poil grotesque. Les personnages prennent du temps à prendre leur envol, ainsi que le contexte qui fait penser à la trilogie du même genre des Hunger Games. J'ai souvent levé les yeux au ciel pendant ces premiers chapitres, surtout parce que le personnage principal n'est pas forcément attractif de prime abord.
Une fois arrivée au palais, en revanche, les interactions entre les personnages deviennent plus intéressantes. En effet, les Sélectionnées sont plus complexes, finalement, que la famille d'America, ce qui rend les dialogues plus vifs et plus rythmés. le Prince est mignon, dans sa manière de parler et dans ses réactions face à America.
En bref, des sourcils levés, des petits sourires et quelques rires. Une lecture agréable. de quoi se remettre dans le bain tout doucement.
