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Critique de lagrandeval


Au Brésil, Julio Santana devient tueur à gages ou pistolero sous l'égide de son oncle à 17 ans. de 1971 à 2006, il acceptera 492 contrats, 492 morts sur la conscience.

L'auteur, journaliste, va, pendant 7 ans et par des rendez-vous téléphoniques (cabines téléphoniques), enregistrer la confession de Julio Santana. 7 ans pour gagner sa confiance. Ce roman de non-fiction ne relate pas chacun des contrats. Non, une grande partie retrace les débuts de sa carrière où les interrogations sont nombreuses pour Julio puisqu'il se débat entre le bien et le mal et qui, au départ, ne souhaitait pas tuer un être humain. On découvre aussi la vie au Brésil : dans la jungle, la recherche de militants communistes, la facilité que les habitants ont pour demander de tuer untel ou untel pour des raisons diverses et variées. Malgré son métier comme Julio le dit « il ne sait faire que cela », il est très difficile de le détester tellement il y a d'humanité au travers de ces pages.
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