Un monde sous influence

- Bien plus! C’est même un euphémisme! Par exemple, les petits objets que vous voyez là, constituent des éléments que l’on pourrait désigner comme des nanotechnologies dont les scientifiques que vous me citiez, tentent de développer aujourd’hui la technique de conception. Au fait, en soupçonnez-vous l’origine?
- Extraterrestre sans nul doute!
- A deux cents pour cent! Ils ont été retrouvés en Russie, il y a une quinzaine d’années par des prospecteurs d’or. Leur existence a été officiellement validée par des expéditions scientifiques, mandatées par l’institut central de recherche scientifique de géologie et de prospection de métaux ferreux et non-ferreux de Moscou. Il s’agit là de petites pièces pouvant varier de quelques centaines de microns à plusieurs centimètres en taille.
- Quelles en sont leurs compositions?
- Elles sont singulièrement surprenantes. Les plus gros sont constitués de cuivre et les plus petits de tungstène ou molybdène avec des points de fusion respectivement à 3422 °C et 2623 °C. Pour ces derniers métaux, ne trouvez-vous pas cela étonnant, non?
- Incontestablement surtout au vu des difficultés de fabrication dans ces dimensions! Et leurs datations?
- Ils ont été découverts dans des couches sédimenteuses datant du pléistocène supérieur à des profondeurs de quelques mètres, soit au bas mot une datation entre vingt mille et plus de tois cents mille ans. Pour mémoire, les premières traces de foyers humains aménagés dans le monde remontent à quatre cents mille ans. N’est-ce pas stupéfiant?
- Effectivement! Mais au fait, qu’en concluent les scientifiques qui se sont penchés sur cette énigme?
-Tout simplement que les données obtenues permettent d’envisager une technologie d’origine extraterrestre! C’est le libellé exact de leur conclusion. La vraie question reste bien entendu de savoir dans quel but ont été réalisés des objets aussi insolites et là, nos scientifiques en sont réduits à des conjectures!
- Eh bien, voilà des preuves d’autant plus déconcertantes que nous arrivons péniblement à ce jour à un tel niveau de technologie, j’imagine.
- C’est exactement ça et je vous le confirme après des recherches poussées et tous azimuts. Si le sujet vous passionne, je tiens à votre disposition les publications scientifiques correspondantes que j’ai soigneusement compilées. On peut d’ailleurs les retrouver aisément sur Internet ce qui est l’intérêt de ce vecteur médiatique qui ne passe pas par la censure.