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Critique de Yendare


J'ai reçu ce livre il y a 36 jours dans le cadre d'une masse critique. J'ai effectivement 6 jours de retard. Toutes mes excuses pour ces quelques jours de retard pour donner mon avis sur ce livre singulier.

Je suis actuellement en master 1 de propriété intellectuelle et droit du numérique, étude qui je pense ne peut que conduire à se questionner notamment sur l'intelligence artificielle ce qui m'a incité à cocher ce livre parmi les nombreux titres proposés lors de chaque masse critique. Etude aussi qui m'on tenu particulièrement bien occuper ces dernières semaines expliquant mon retard n'étant pas parvenu à finir ce livre dans les temps. Chose que j'ai fait ce matin en avalant la petite cinquantaine de pages qu'il me restait.

C'est ma toute première philosofiction et je dois dire que j'ai rapidement été rassuré au début de ma lecture. J'avais en effet un peu peur que cela soit compliqué à lire. He bien pas du tout, au contraire cela se laisse lire sans difficulté et j'ai trouvé cela vraiment accessible et plutôt agréable à lire. On se retrouve dans le futur ou la cybermodernité est devenu la norme, ainsi robots et Intelligences artificielles assistent les humains dans leurs taches dotant le réel d'une dimension virtuel envoutant l'humanité.

On fait ainsi la connaissance d'Imlac une intelligence artificielle alors là plus sophistiquer qui soit destiner à penser, philosopher au service des Hommes, intelligence artificielle ou véritable personnage de cette philosofiction qui va discuter tout au long ce livre avec de nombreuses personnes notamment sa conceptrice Alice Moreau. Une lecture principalement donc sous forme de dialogue rendant le tout vivant et agréable à découvrir.

Des dialogues riches et parfois assez denses sur des sujets finalement très variés. Si le tout se passe dans le futur ce n'est que pour mieux revenir au portrait que dresse Imalc de notre époque et cela n'est pas franchement très flatteur. Des dialogues qui par leur teneur ne peuvent qu'inciter à la réflexion sur finalement ce qui fait notre humanité et le devenir de celle-ci.

Seul point vraiment négatif au tableau pour moi mais qui est plus de ma faute que celle de l'auteur furent les nombreux néologismes que ce dernier invente et qui s'accumulent au cours de la lecture. N'ayant pas lu cette philosofiction d'une traite mais par petit bout souvent espacé de quelques jours j'ai dû quelque fois notamment lors de la première moitié revenir en arrière pour comprendre ce que je lisais.

Cela n'en fut pas moins une lecture intéressante que je prendrai le temps de relire je pense dans quelques mois dans une période moins exigeante pour moi qu'en cette fin d'année universitaire me tenant bien occupée.

Merci à Babelio et à la maison d'édition Plon pour l'envoi et le petit mot et encore toutes mes excuses pour le retard dans la rédaction de cette petite chronique.
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