Un peu déçu par ce roman ( j'avais nettement préféré "
retour à Killybegs, plus profond), que j'ai trouvé trop idéaliste (surtout au début) pourque l'on y croit vraiment.
Par contre, la partie où Georges retourne chez lui, la confrontation avec "l'insignifiance" de cette autre vie est bouleversante. L'impossibilité à s'arracher à ce que l'on vu et vécu de violent...
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