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Critique de koalas


koalas
26 septembre 2021
Avant de passer l'arme à gauche, le senior Don Alberto a pensé à coucher dans son testament le noms de ses héritiers , ses trois neveux, des fripouilles. le trio de hors la loi devrait hériter de la plus riche hacienda de la région de San Isidro, ce qui devrait faire pas mal d'envieux parmi les rancheros. Mais avant de conclure la séance , Mansalda, le notaire précise une clause du testament qui stipule que l'héritage ne peut être légué qu'au dernier vivant... de quoi plomber l'ambiance parmi la fratrie...
La messe est dite et bien dite ! Pour son unique Série noire, le français Claude Chaliès a planté son décor au Mexique, dans une hacienda tenue d'une main de contremaître par le bellâtre moustachu señor Carlos qui fait chavirer le coeur de la bella Estrella et d'autres mexicaines bien roulées olé ! Mais voit d'un mauvais oeil les trois nouveaux quasi proprio qui maltraitent les "peones" qui triment pourtant dur dans les champs de cotons. A cela s'ajoute la venue du rococo Rocco et de ses frères...ennemis. de quoi faire monter la température de la Sierra Madre. Autant dire que ça risque de chauffer pour des matricules.
Cette Série Noire sous le soleil torride de Mexico and co a totalement embarqué le gringo que je suis. Quelle épopée mes amigos. Au dernier Vivant, je lui lance quatre sombreros !
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