>
Critique de Idiosyncrazy
J'ai acheté ce premier tome, ainsi que le premier tome de Capitale du Nord parce que je trouvais l'idée intéressante : deux séries se passant dans le même univers et en même temps, avec des personnages qui se croisent...
J'ai commencé par ce tome-ci, et j'ai beaucoup aimé ma lecture. Je ne lis pas souvent de fantasy francophone, qui plus est qui se déroule dans une ville. le début est un peu rude, parce qu'il y a beaucoup de termes, de noms de personnages ou de clans à retenir (et qui souvent ne sont pas expliqués tout de suite, comme la Recluse, qui m'a bien perturbée au début !), mais au fur et à mesure de la lecture, tout est expliqué via des conversations, des événements, etc.
L'histoire est rapidement prenante, car le personnage principal est plutôt sympathique à suivre et l'on s'y attache facilement je trouve. Certains événements peuvent sembler étranges, comme j'ai pu lire dans d'autres critiques : une fille de duc qui peut sortir se promener sans prévenir personne, le duc qui prend le narrateur sous son aile... Mais à mon avis, ce principe de duc est bien différent de celui auquel on pense de prime abord : dans ce roman, la Cité est divisée en de nombreuses zones contrôlées par des clans, et chaque clan possède à sa tête un duc, une duchesse, etc. Ici, le duc n'a pas tous les pouvoirs, c'est juste la dénomination des différents dirigeants de clan, et de ce fait, il n'y a rien de particulièrement étrange dans le fait qu'ils vivent et se comportent d'une manière plutôt classique. En tout cas, ça ne m'a pas choquée outre mesure !
J'ai bien aimé l'enchaînement des événements, avec des moments tranquilles de découverte de la ville et de ces habitants, puis des moments plus violents, plus déchaînés. Certains moments de description m'ont par contre un peu perdue, parce que j'avais beaucoup de mal à imaginer la manière dont le décor était mis en place (notamment la cachette de l'arbre, vraiment je n'ai jamais compris comment c'était construit...).
Ce premier tome laisse de nombreuses questions en suspens, ce qui est normal pour une trilogie, et je suis curieuse de lire la suite pour voir ce qu'il va se passer.
J'ai commencé par ce tome-ci, et j'ai beaucoup aimé ma lecture. Je ne lis pas souvent de fantasy francophone, qui plus est qui se déroule dans une ville. le début est un peu rude, parce qu'il y a beaucoup de termes, de noms de personnages ou de clans à retenir (et qui souvent ne sont pas expliqués tout de suite, comme la Recluse, qui m'a bien perturbée au début !), mais au fur et à mesure de la lecture, tout est expliqué via des conversations, des événements, etc.
L'histoire est rapidement prenante, car le personnage principal est plutôt sympathique à suivre et l'on s'y attache facilement je trouve. Certains événements peuvent sembler étranges, comme j'ai pu lire dans d'autres critiques : une fille de duc qui peut sortir se promener sans prévenir personne, le duc qui prend le narrateur sous son aile... Mais à mon avis, ce principe de duc est bien différent de celui auquel on pense de prime abord : dans ce roman, la Cité est divisée en de nombreuses zones contrôlées par des clans, et chaque clan possède à sa tête un duc, une duchesse, etc. Ici, le duc n'a pas tous les pouvoirs, c'est juste la dénomination des différents dirigeants de clan, et de ce fait, il n'y a rien de particulièrement étrange dans le fait qu'ils vivent et se comportent d'une manière plutôt classique. En tout cas, ça ne m'a pas choquée outre mesure !
J'ai bien aimé l'enchaînement des événements, avec des moments tranquilles de découverte de la ville et de ces habitants, puis des moments plus violents, plus déchaînés. Certains moments de description m'ont par contre un peu perdue, parce que j'avais beaucoup de mal à imaginer la manière dont le décor était mis en place (notamment la cachette de l'arbre, vraiment je n'ai jamais compris comment c'était construit...).
Ce premier tome laisse de nombreuses questions en suspens, ce qui est normal pour une trilogie, et je suis curieuse de lire la suite pour voir ce qu'il va se passer.
